Leclerc sait où des améliorations peuvent encore être apportées à Ferrari

Il est clair que Ferrari a fait des progrès, ce qui s'est reflété à Monaco, où Leclerc a finalement réussi à remporter son Grand Prix national. Seule McLaren était vraiment proche de la Scuderia dans les rues de Monte Carlos, mais Oscar Piastri, qui a terminé derrière Leclerc, n'a pas pu tenter de dépassement dans la Principauté.

Leclerc connaît les faiblesses de Ferrari

Pourtant, tout n'est pas positif pour Ferrari. Au Canada, la Scuderia a connu un week-end désastreux. En amont de ce week-end de course, Leclerc a donc fait part de ses faiblesses sur les circuits normaux : "Je crois toujours qu'une de nos faiblesses est les longs virages à faible vitesse. Nous avons eu pas mal de mal en Chine à cause de cela et c'est encore un domaine sur lequel nous devons travailler avec les voitures. Je dirais donc que c'est le principal problème à régler."

Leclerc poursuit en disant qu'il y a encore un écart avec la concurrence et que d'autres changements doivent être apportés : "C'est une foule de petits détails additionnés qui font la différence. Évidemment, il suffirait d'un nouvel ensemble avec un peu plus de force portante et un peu moins de traînée, ce qui est tout à fait évident, pour combler l'écart. Au final, nous parlons de deux dixièmes et demi dans les pires scénarios, ce qui est vraiment peu quand il s'agit de centièmes par virage. Nous devons regarder chaque détail et rien qu'en optimisant notre propre package, vous pouvez déjà gagner un dixième, ce qui représente la moitié de cet écart. Je pense qu'il y a beaucoup de petits détails que nous devons mettre en place, mais si je dois en choisir un, ce sont les longs virages à faible vitesse."